Derrière le Miroir accompagnant l'exposition Pablo PALAZUELO en 1952 à la Galerie Maeght. Textes originaux en français de SEUPHOR. Format 38 x 28 cm, 10 pages incluant 3 lithographies originales. Derrière Le Miroir n°50
Derrière le Miroir édité en 1963 pour accompagner l'exposition PALAZUELO à la Galerie Maeght. Textes originaux de VOLBOUDT. Format 38 x 28 cm, 26 pages incluant 7 illustrations en sérigraphie et 6 reproductions. Derrière Le Miroir n°137
Derrière le Miroir accompagnant l'exposition Pablo PALAZUELO à la Galerie Maeght en 1970. Textes originaux en français de HOLZER. Format 38 x 28 cm, 34 pages incluant 13 illustrations en lithographie originale et 14 reproductions. Derrière Le Miroir n°184
Derrière le Miroir édité en 1978 pour accompagner l'exposition PALAZUELO à la Galerie Maeght. Textes originaux de BONNEFOY. Format 38 x 28 cm, 32 pages incluant 2 illustrations en lithographie originale, 3 illustrations en lithographie et 12 reproductions. Derrière Le Miroir n°229
Aimé Maeght et Pablo Palazuelo.
Palazuelo naît en 1915 à Madrid.
En
1932, il étudie à l’Ecole d’Architecture de Madrid puis, en 1933, à Oxford, à la School of Arts and Crafts.
En 1939, il abandonne l'architecture pour se consacrer à la peinture. En 1945, il fait sa première exposition lors de l'Exposition nationale des Beaux-Arts et il réalise ses premières peintures abstraites. En 1948, il obtient une bourse de l'Institut français pour étudier à Paris où il restera jusqu'en 1968.
En 1949 commence sa collaboration avec la Galerie Maeght. Il rencontre Eduardo Chillida avec lequel il se lie d'amitié. En 1955 il a sa première exposition individuelle à la Galerie Maeght à Paris.
En 1969, retour en Espagne, il s'installe dans le château de Montroy. Dans les années suivantes ses expositions sont de plus en plus fréquentes à Madrid (ThéoGallery), à Barcelone et à Paris (Galerie Maeght).
En 1981, les Éditions Maeght publient une monographie consacrée à son travail, réalisée en collaboration avec Claude Esteban.
Palazuelo meurt le 3 octobre 2007, à 91 ans, à son domicile de Galapagar, près de Madrid, où il a travaillé jusqu’au dernier jour.
"Je me réfère à l’imagination qui peut passer de l’état d’imagination « passive » au stade d’imagination « active ».
L’imagination passive se trouve assujettie au sens de la perception sensible, extérieure, alors que l’imagination active est une faculté de méditation. La première engendre des fantaisies alors que la seconde, qui prend appui également sur les perspectives sensibles, poursuit toutefois sa route bien au-delà et, par l’influx de l’intellect, se converti en organe de connaissance véritable.
L’imagination et les rêves de l’homme révèlent l’inconnu, le langage qui imagine est le véhicule et la matière sonore où s’incarnent les énergies matérielles de l’univers. Je crois, en y pensant bien, que toutes les énergies sont matérielles."